Qui sommes-nous ?


« 50 chômeurs députés » est une fédération de plusieurs candidatures individuelles, indépendantes. Le point commun entre tous ces candidats est l'engagement à réduire efficacement le chômage et le coût de la vie (logement principalement).


Le programme « 50 chômeurs députés » a été lancé suite à un ensemble de constatations reprises par les différentes pages du site.

A l'orgine de ce programme, une seule personne, Lionel. Je ne cache pas mon identité, que je peux vous transmettre sur demande. Simplement, le but de ce site est vraiment de permettre à tous les Français qui souhaitent travailler, d'accéder à un emploi, et non pas de me faire « mousser » en m'affichant à droite et à gauche.

Je suis humanitaire de profession, j'ai participé à des missions à l'étranger, dont des pays africains. Mais quand je rentre en France, je suis désolé de voir que notre situation, bien que meilleure, est loin d'être la panacée. (L'hiver arrive, et dès novembre, les centres d'accueils sont déjà pleins. Il y a des travailleurs qui n'ont pas de domicile et dorment dans leurs voitures. Certains en meurent. Et les sans-emplois, c'est pire.)

J'ai participé à plusieurs chantiers à l'étranger. Mais quand je suis rentré en France pour raisons familiales, j'ai cherché du travail, et je n'en ai pas trouvé... Le problème de l'emploi en France existe.

Un dernier point. Moi Français, je regrette de voir quelques fois mes compatriotes dressés les uns contre les autres, si ce n'est contre d'autres encore plus faibles, les étrangers.



Quand je travaillais en mission, c'était souvent sous le statut de « volontaire ». C'est un statut qui permet d'avoir ses frais courants payés (nourri, logé, blanchi, et même un peu d'argent de poche), ainsi qu'une indemnité versée mensuellement sur un compte bancaire en France pour atténuer les difficultés lors du retour en France entre 2 missions. Ces primes, qui ne sont pas des salaires, ne sont pas soumises à des taxes ou des impôts.

Ce « volontariat » existe aussi pour d'autres professions, comme les pompiers.

J'aime les chiffres, et j'ai calculé ce que coûterait de généraliser le volontariat à tous les chômeurs (ou au moins à ceux qui le souhaitent), sur tout le territoire français.

J'ai été fortement choqué par le très faible coût de ce projet comparé aux enjeux (je rappelle, la fin totale du chômage en France !). Ce qui m'a choqué, c'est l'absence d'initiative de grands partis politiques, qui sont maintenant à mes yeux soit de grands complices du patronat qui veut garder une réserve de main d'oeuvre bon marché, soit de grands incapables (je penche pour cette dernière option).



Je ne peux pas me dire « humanitaire » et laisser passer de telles choses. Je rappelle que le chômage tue indirectement plusieurs personnes en France (suicides, froid).

J'ai de bonnes bases commerciales et de management, de l'époque où je travaillais dans le privé avant de passer à l'humanitaire. J'ai donc pris mon baton de pelerin et me voilà sur la route pour les 6 mois de campagne à venir. Je ne m'engage que pour trouver des candidats aux législatives. C'est aux candidats eux-même de créer leur parti politique. Je ne rentre pas là-dedans. Je ne me présente pas dans ma circonscription, et me consacre uniquement à recruter de nombreux candidats, de tout horizon politique.



Quel avenir ?
Après les législatives, aucun. Je veux que cette loi sur le volontariat en association passe, c'est tout. Une petite réserve quand même : si le projet passe à l'Assemblée mais est recalé au Sénat (ce qui m'étonnerait quand même), alors il faudrait faire pareil, viser les sénatoriales, mais à cause du mode de scrutin, passer par les municipales... Les Sénateurs doivent comprendre que pour éviter de nous avoir parmi eux ils devraient voter des lois qui permettent à tous de travailler.



   

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